L’alimentation a évolué avec les siècles : régulièrement sous-alimentés lors des siècles précédents, nous sommes désormais en excès caloriques dans la plupart des pays développés.
A grand renfort de publicité, nous sommes souvent conditionnés à acheter des produits de médiocre qualité intégrant un nombre croissant de produits chimiques et sucres "cachés". Les excès alimentaires et le sucre acidifient nos tissus corporels et favorisent l’inflammation, laquelle à moyen ou long terme engendre des pathologies, tel le diabète. C’est sur le moyen et long terme que nous nous intoxiquons avec les pièges alimentaires et en particulier avec l’augmentation des produits chimiques identifiés comme facteurs de cancers.
Si on s’intéresse aux chiffres, on constate une flambée des cancers : la prévision est de + 60 % dans les 20 ans et 18,1 millionsdiagnostiqués dans le monde en 2018, contre 14 millions en 2012, soit une augmentation de 20 % en 4 ans. Cela représente un rythme de progression de 2 à 3 fois la croissance de la population mondiale, soit 1 personne sur 5 avant 75 ans. En 2018, en France, 157.400 personnes sont mortes du cancer, soit 431 personnes par jour et cela ne fait qu’augmenter d’années en années.
Quant aux ALD (Affections de longue durée - cancer mais également diabète, cardiopathies, maladies rénales...) plus de 10 millions de français étaient en ALD en 2017, soit un français sur six. Selon les prévisions de l’Etat Français, 15 millions de français seront en ALD en 2025, soit un français sur quatre.
Différents facteurs en sont à l'origine : la génétique et l’environnement via le manque d’activité physique, la pollution de l’air, de l’eau, des aliments, le stress, le surpoids...
L’alimentation a un rôle central car on mange environ trois fois par jour et mal manger engendre une augmentation des produits chimiques dans l'organisme, ce qui augmente fortement les risques de cancers.
Conclusions :
Oui à une régulation des produits fabriqués par l’homme,
Oui à des solutions innovantes et saines en plus de l’agriculture classique comme l’émergence de l’agriculture cellulaire,
Oui à une agriculture raisonnée,
Oui au bio, aux labels qualités,
Oui au circuit court,
Oui au respect de la nature et du monde animal,
Oui à l’éthique alimentaire,
Oui aux bons conseils et à l’accompagnement individualisé : c’est le rôle de notre plateforme http:/evalli.fr pour retrouver le bien-être.
Nous avons les moyens de faire évoluer les choses, mais n’attendons pas de l’Etat ce que nous pouvons faire chaque jour lors de nos courses. L’État contrôle mais ne peut pas tout contrôler. L’État peut aussi se tromper et favoriser des solutions contre-productives, comme autoriser à nouveau les farines animales ou faire voter le 6 octobre la dérogation d’utilisation des néonicotinoïdes, revenant ainsi sur la loi d’interdiction de 2016. Notre comportement de « consom-acteur » peut changer les produits alimentaires que l’on nous propose. Achetons sain et refusons d’acheter les mauvais produits qui nous polluent et qui polluent la planète inutilement.
Pour cela, faut-il se concerter et avoir les bonnes informations : Evalli, comme d’autres acteurs, en a la prétention.
Changer, c’est arrêter d’acheter les mauvais produits sur les étalages et demander les bons produits auprès des magasins.
Nous avons le pouvoir de changer ce que l’on nous vend, engageons nous sur ce chemin pour une meilleure alimentation dans le futur et devenons des « CONSOM-ACTEURS ».
J’ai été sollicité comme intervenant début avril par l’école de communication Parisienne « Cesacom » lors d’une table ronde sur le thème de l'alimentation et la santé en 2030. Vous pouvez visionner la vidéo (elle commence à 10:03) https://www.twitch.tv/videos/971028324.
Les tests proposés dans l’application gratuite d’Evalli constituent déjà une prise de conscience. RDV sur http://evalli.fr